Bien le bonjour !

 


SAUVER le BASSIN VERSANT du CIRON

Initiative environnementale innovante pour combler un vide.

Projet d'une association :

Ciron Notre Bien Commun

 

https://freight.cargo.site/m/B2012113358303733427788681135643/feuillet-Ciron-pdf-standard.pdf

 


Le Monde Diplomatique

La forêt française, un bien commun en danger

Article de Pierre Puchot


SUD-OUEST

Faire peser sur la forêt une rentabilité économique, est une hérésie

Article de Sébastien Hervier


APPEL POUR DES FORÊTS VIVANTES


SOS FORÊT DORDOGNE 

Des citoyens luttent contre les coupes rases de feuillus et l'ENRÉSINEMENT du PÉRIGORD 


Sur le front, émission d'Hugo Clément, sur France 5 

Cartons, sacs en papier : la fausse bonne idée ?

 

 

Ici, tout va bien, journal d'information en ligne, interview un membre du Collectif.

https://www.ici-toutvabien.org/renouer/512-les-leviers-d-un-collectif.html

 


Les temps ont bien changés.
Depuis que les pins, transformés en poteaux, vont étayer les galeries de mines anglaises et qu'ils ont pour principaux clients des acheteurs en livres; depuis que la barrique de résine se paie plus cher que la barrique de vin, les sauvages de 1829 sont devenus les rois de la forêt et même de la ville.
Ils entendent régner en maîtres dans leurs vastes pignadas et n'ont d'autre rêve que d'échapper quelque jour au contrôle de l'administration forestière.
D'ailleurs, on n'aime plus les arbres, aujourd'hui, et tout est prétexte à leur destruction.
Ceux-là même qui en vivent, et parce qu'ils en vivent, ne songent qu'à les abattre pour en tirer immédiatement le maximum de profit, sans se rendre compte qu'ils mangent leur capital: mais ce sont eux qui le dévorent, et cette satisfaction égoïste leur suffit.
Le mal serait encore réparable si les vandales, propriétaires, marchands de bois ou exploiteurs de scieries, replantaient au fur et à mesure qu'ils déboisent.
Mais à quoi bon planter ? La vie est brève, elle est devenue fiévreuse. et c'est tout de suite qu'il faut trouver un rendement à l'effort, parce que c'est à son auteur qu'il doit profiter.
Cet effort leur paraît vain si c'est une autre génération qui est appelée à en bénéficier.
Que n'ont-ils eux-mêmes reçu de leurs aïeux une leçon si bien méritée.
Voilà comment, peu à peu. toutes les contrées de la France sont déboisées, ruinées, que le rôle hydrologique de !a forêt n'est plus rempli et que de terribles inondations dévastent de temps à autre le pays. ·
Cette rage destructive s'exerce même là où, en somme, aucun profit direct et véritable ne peut la justifier.
Les arbres de nos routes même, qui agrémentaient le paysage de leurs belles frondaisons et de leur ombre bienfaisante, ils sont, paraît-il, devenus dangereux pour les fous de l'automobile sont systématiquement massacrés chaque année, réduits à l'état de poteaux et même arrachés.
Et sur nos places publiques, déjà si désertiques et inhospitalières, des jardiniers malfaisants, ennemis jurés d'arbres qu'ils détestent parce qu'ils ne les comprennent pas et qu'eux aussi en tirent des fagots et des planches, s'acharnent périodiquement contre les plus beaux ormeaux, les platanes les plus magnifiques, qui sont décapités, amputés, hachés et réduits à un tronçon de fût d'où quelques moignons informes s'élancent comme des bras tordus par le supplice et qui appelleraient encore au secours !
 
Extrait d'un article de B. Saint-Jours, Les dunes du littoral gascon, dans Actes de l'Académie nationale des sciences, belles-lettres et arts de Bordeaux. 1927. source Gallica BNF

L’AMÉNAGEMENT du BASSIN VERSANT
du CIRON
SE POURSUIT
EN  ÉRADIQUANT LES FEUILLUS EN SÈVE ET DE TOUS AGES !!
EN COUPE RASE OU MASSIVE !!
 

A PRECHAC

ENCORE A PRECHAC

A UNE CENTAINE DE MÈTRES DU CIRON


ROAILLAN

LIGNAN de BAZAS

GISCOS

A 10 M DE LA RIPISYLVE du RUISSEAU de GISCOS

A AUROS

A BERNOS-BAULAC, une coupe rase de feuillus sur 1,5 ha, CHÊNES, CHÂTAIGNIERS, BOULEAUX.

A UZESTE, une coupe rase de pins.... mais......avec une éradication de feuillus (chênes...) qui vivaient avec les pins !!

 

LERM et MUSSET, même massacre de feuillus pour faire place aux pins !!

Toutes ces coupes relèvent d'une gestion aveugle, décision inique qui détruit des espaces forestiers à couvert continu et de biodiversité perdus pour plusieurs décennies !!!

 

IL EST IMPÉRATIF DE CHANGER DES LOIS FORESTIÈRES QUI DONNENT PLEIN POUVOIR A LA MONOCULTURE DU PIN QUI ÉRADIQUE LA BIODIVERSITÉ FORESTIÈRE.

 

LA POLITIQUE DE DÉFORESTATION DES ESPACES DE FEUILLUS POUR LES REMPLACER PAR DU PIN MARITIME SERVANT DE COMBUSTIBLE, A POUR CONSÉQUENCE D'AUGMENTER LE RISQUE D'INCENDIE.


Journal "L'Avant-scène" 19-12-1843 

source Gallica BNF
source Gallica BNF

Journal Le Gaulois du dimanche, 2 mai 1908. Article de F. Gregh sur la forêt de Fontainebleau.

M. FERNAND GREGH

—- Un certain nombre de « cantons » de la Forêt portent ce

nom, que je trouve affreux : Partie artistique, mais qui dit naïve

ment et nettement ce qu’il veut dire. Il serait à désirer qu’on ne

fît jamais de coupes dans ces cantons. En outre, depuis Louis-

Philippe, on a semé beaucoup de pins dans la forêt ; il n’y en

avait pas avant le roi-citoyen; le pin est à Fontainebleau d’ap-

port humain.

C’est un bel arbre, un pin, et qui fait l’un des bruits les plus émouvants de la forêt, à la moindre brise qui rebrousse ses aiguilles ;

mais il a le très grand tort de brûler comme une allumette géante ; planter des pins en trop grand nombre, c'est multiplier les foyers d’incendie.

A chaque été, d’ailleurs, un canton brûle.

Si l’incendie ne dévorait que des pins, ce ne serait que demi-mal ; ils repoussent si vite ! Mais, dès que le feu « saute » un sentier — et il faut avoir vu déferler la grande flamme rouge, comme une vague ardente, pour savoir combien c’est vite fait — les plus nobles futaies de vieux chênes, ormes, charmes, etc., sont en danger, et une vraie catastrophe peut se produire.

Il faudrait donc restreindre les semis de pins et même ceux que l'administration a laissés croître et qu’elle exploite pour faire des poteaux télégraphiques, ne pas les remplacer par d’autres ;

laisser par endroits des landes qui dégagent les horizons et dont la mélancolie est magnifique, sous un.ciel gris ou par un beau jour. Une forêt contient des espaces découverts à côté des futaies et des taillis.

Voilà, bien hâtivement énoncés, les principaux desiderata de

quelques amis de la Foret. Il y aurait encore bien d’autres choses

à dire, notamment sur les marques bleues et rouges qu’on a pro

diguées même le long des rochers les plus sauvages en apparence

et qui, tout à coup, rappellent désagréablement la civilisation et

la bureaucratie; mais à chaque année suffit sa peine. Tout cela

se résume, d’ailleurs, en quelques mots : il ne faut pas transfor

mer la Forêt en un parc, si vaste et si beau qu’il soit.

Fernand GREGH. source Gallica BNF


La monoculture du pin maritime dans le Massif Landais

UN NID À INCENDIE

Les dangers de la monoculture du pin dans le massif landais ont été dénoncés par les ingénieurs forestiers depuis plus d'un siècle.
Ils n'ont eu de cesse de proposer la constitution de larges espaces de feuillus, de cultures et de pare-feu pour limiter les propagations des incendies alimentées par un pin combustible

 Extraits d'articles publiés dans la "Revue des Eaux et Forêts" (Source Gallica BNF).

Ils sont éloquents !!
1948  Il faut de toute urgence rompre l'uniformité de la forêt landaise qui, de Bordeaux à Bayonne et de Nérac à l'Océan, ne comprend que du pin maritime.

1894  On a songé à constituer des pare-feu avec l'acacia ou le chêne tauzin, mais il est préférable d'employer le chêne pédonculé et de l'aménager en futaie. On crée ainsi des massifs de chêne qui ont à peu près la même superficie que les massifs de pins.

1935  J'entends dans la constitution d'un peuplement d'essences mélangées, un élément de résistance à l'incendie, rien de mieux.

1893  Pour préserver les forêts de pins maritimes contre les incendies, on divise les peuplements au moyen d'allées dites garde-feu qu'on établit tous les cent mètres.

1901  Préconisation de recouper les pignadas par des allées de 60 m bordées de chênes pédonculés, de façon que cette essence occupe le dixième du terrain boisé. Car « le chêne pédonculé est l'arbre des Landes aussi bien que le pin maritime ».

1901  La flamme monte vite très haut, elle file le long des quarres et elle atteint infailliblement la cime des pins, dont le feuillage et les ramules, quoique verts, brûlent très vivement. Des cônes éclatent comme des obus et leurs fragments en ignition, ainsi que mille étincelles et parcelles de charbon incandescentes, volent de côtés et d'autres ; le vent peut les porter extraordinairement loin.

1909  Avec leurs peuplements de bois résineux, avec leurs sous-étages de jeunes pins, de brandes, de genêts et d'ajoncs, avec leur sol recouvert d'aiguilles sèches et jonché de pommes de pins, qui sont autant d'agents merveilleux de propagation, les forêts de pins constituent d'excellents foyers de combustion.

1903  Pour défendre les massifs de pins contre le feu, on recommande depuis longtemps de les recouper de bandes boisées en essences feuillues

1903  La température par elle-même très élevée et augmentée par l'intensité du feu, produit en ce moment un tel effet aux arbres pins et à la résine coulée, qu'il s'en dégage un certain gaz rendant l'air suffoquant et inflammable.

1893  On peut dire sans exagération que tout massif de pin maritime, est presque fatalement condamné à succomber aux atteintes de l’incendie qui s’y est déclaré, s’il n’est pas entrecoupé de pare-feu.

1948  Les Landes subissent les terribles méfaits de la monoculture. Il faut donc développer la production agricole, constituer comme dans le Marenssin un massif forestier entrecoupé de cultures et de prairies qui sont les meilleurs pare-feux.

1948  Il faudra adopter des méthodes variées et surtout faire accepter par les propriétaires le sacrifice de consacrer des centaines d'hectares à d'autres arbres que le pin maritime.

1945  La plantation dans les pare-feu d'essences feuillues qui, étouffant la végétation arbustive et maintenant l'humidité, constitueraient des rideaux incombustibles, donnerait d'heureux résultats.

1948  Comme les feuillus poussent lentement, il ne faut pas attendre plus longtemps pour les introduire dans les reboisements des zones incendiées. Tout le monde sait que les moutons et surtout les chèvres sont les meilleurs débroussailleurs.

1909  L'avantage de ces pare-feu de chênes tauzins consiste à offrir aux propriétaires des massifs d'un rapport assez élevé, ce qui permet d'éviter le préjudice résultant de la déperdition du terrain dans l'emploi des pare-feu ordinaires.

1990  Je contemplais, fasciné, les pins s'embraser d'un coup, comme une allumette, du pied à la cime dans l'odeur de térébenthine et de résine ... surchauffée par l'incendie, qui perlait des troncs.

1882  La résine produit en se consumant une chaleur si vive qu'à 50 mètres de distance il est impossible d'approcher

1892  On se sert de pommes de pin sèches : c'est le plus rapide et le plus économique des allume-feux. 

Des jeunes paysagistes proposent pour les champs en monoculture de pins une autre occupation du sol avec des paysages forestiers diversifiés et des paysages ouverts à échelle humaine.

 

Pour limiter grandement les risques d'incendies il est préconisé de dégager de larges plantations de pin maritime (combustible hautement inflammable) pour des espaces de feuillus, d'arbustes et landes.

Ces larges cloisonnements de biodiversité forestière protègent les champs de pins des incendies. Les zones viaires (chemins, routes) et le réseau hydrographique (rus, ruisseaux, rivières) sont prioritairement concernés.

 

 

De nombreuses propositions rejoignent celles du Collectif Forêt Vivante Sud-Gironde.


La revue Après-Demain de la Fondation Seligmann publie un dossier Forêt Climat Sociétés.

« Le massif landais est un nid à incendies »

 

Entretien avec Jacques Pons, Membre du Collectif Forêt Vivante Sud-Gironde, Propos recueillis par Alphée Roche-Noël

Déjà en 1869 des ingénieurs forestiers s'interrogent sur les coupes rases et dénoncent leur nocivité.
Extrait d'un article de Jolyet dans la Revue des Eaux et Forêts (source gallica BNF)
Elles sont d'une importance majeure pour le pays où je possède une forêt : là, par une erreur que, si je ne me trompe, je crois funeste et déplorable, se pratique encore la coupe rase, qui consiste à tout couper, même la plus petite plante feuillue ou résineuse.
La coupe rase dans une forêt exploitée déjà depuis fort longtemps tous les vingt-cinq ou trente ans en taillis simple, composée d'un mélange d'essences résineuses, sapins et épicéas, et d'essences feuillues, chênes, châtaigniers, hêtres, charmes, ormeaux, frênes, bouleaux, etc., peut-elle être continuée soit dans une forêt de cette nature, soit même dans une forêt quelconque sans compromettre la prospérité, le bon aménagement, le repeuplement et même l'existence de la forêt, surtout si cette coupe est tellement rase que non-seulement elle ne laisse aucun baliveau ou porte-graines, mais qu'elle abat même les plus petites plantes soit feuillues, soit même résineuses ?

Et que par conséquent une forêt quelconque exploitée en taillis par la coupe rase, ne laissant ni porte-graines ni baliveaux feuillus ou résineux, doit nécessairement périr dans un délai plus ou moins rapproché, puisque les résineux ne repoussent pas par la souche et que les feuillus doivent tôt ou tard cesser de repousser par la souche et qu'ils ne sont pas reproduits ?

 L'expérience n'a-t-elle pas démontré déjà bien des fois les conséquences ci-dessus signalées de la coupe rase? et un grand nombre de forêts particulières ne doivent-elles pas leur ruine à cette funeste pratique?

Les résineux qui ne seront exploités qu'une fois tous les quatre-vingt-dix ou cent vingt ans ne produisent-ils pas, soit en bois de service, soit même en bois à brûler ou en
charbon, dans le même espace de temps, une quantité double, triple ou même quadruple des mêmes résineux exploités tous les trente ans, attendu que, même en négligeant le temps perdu pour le repeuplement, ces derniers n'auront dans le même espace de temps qu'un tiers ou un quart de grande végétation, tandis que les premiers n'auront que dix ou vingt
ans de faible végétation et soixante et dix ou cent ans de grande végétation?

Toute forêt peuplée de résineux et de bois durs tels que chênes, hêtres, chataîgniers, ormes, etc., est vouée à une destruction certaine si elle est soumise tous les vingt-cinq ou trente ans à une exploitation à blanc étoc (coupe rase) sans aucune réserve. Les causes de l'appauvrissement successif qui suivra chaque coupe sont des plus simples à apprécier. Aucune des essences qui composent le peuplement ne donne de graines fertiles à l'âge où l'exploitation à lieu. Les arbres ne peuvent donc se reproduire que par les rejets de souches.

Mais d'une part les résineux ne repoussent pas de souche; il y a donc de ce côté certitude complète que ces essences disparaîtront à la première exploitation. Les bois feuillus fourniront bien des rejets pendant un certain temps, mais chaque abattage occasionnant à la souche une vaste plaie que les empâtements des rejets recouvrent fort incomplètement, il arrivera nécessairement une époque où la pourriture qui attaque cette surface mise à nue amènera le dépérissement, puis la mort de la souche. Les bois feuillus disparaîtront donc sinon aussi vite, du moins aussi sûrement que les résineux.

La disparition des forêts soumises à des exploitations à blanc étoc (coupe rase) sans réserves et sans repeuplements artificiels est un fait constaté d'une manière irréfutable. 
Si toutes celles qui subissent ce traitement ne sont pas encore détruites, c'est qu'il n'y a pas longtemps qu'elles y sont soumises. Pour un arbre d'essence résineuse, exploité lorsqu'il a atteint son maximum de développement, c'est-à-dire de soixante et dix à cent vingt ans, suivant le sol, le climat et l'essence, fournira beaucoup plus de bois que deux ou trois arbres ayant crû dans les mêmes conditions pendant la moitié ou le tiers de cette révolution. 
Un pin de soixante et dix ans par exemple renferme plus de bois que deux de trente-cinq ans?
Cela ne fait aucun doute.

La mascarade de la récolte des pins maritime, Feuillus abattus et Biodiversité détruite

DE la GESTION SOURNOISE DES CHAMPS DE PINS MARITIME.

 

STOP au MASSACRE des FEUILLUS et de la BIODIVERSITÉ DANS LES CHAMPS de PINS.

 

DANS LE BASSIN VERSANT DU CIRON, l'éradication des feuillus se poursuit discrètement au quotidien. Elle est associée à la récolte des pins.

Les surfaces des feuillus sont de l'ordre d'un 1/2 hectare et plus, mais le cumul, depuis plusieurs années, est vertigineux.

 

Ces parcelles de champs de pins, d'une cinquantaine d'années, ont très souvent grandis avec des feuillus en îlots ou en lisière, du même âge que les pins voire plus vieux. Ces espaces de feuillus sont très peu visibles depuis la trame routière (pas vu, pas pris).

 

Cette pratique de gestion est inadmissible, ces espaces de biodiversité de feuillus sont irrémédiablement perdus, ils seront remplacés par du pin maritime. Personne ne vérifie l'existence et la mort en silence de ces feuillus.

 

Le rouleau compresseur de l'oubli dans la mémoire humaine porte alors la phrase mythique et insupportable clamée par beaucoup de propriétaires forestiers : mais ici, il n'y a que le pin qui pousse !

 

Aujourd'hui ce sont les communes de Bernos-Beaulac, Pujols-sur-Ciron et Saint-Léger-de-Balson,

les entreprises de récolte sont la Forestière Bazadaise et Alliance Forêts Bois.

Soyons lanceurs d'alertes auprès de nos élus pour dénoncer ces pratiques mortifères pour l'avenir de notre paysage et de celui des générations futures.

 


Seule une nouvelle législation sur les Plans Simples de Gestion (PSG du Centre National de la Propriété Forestièredes propriétaires, qui fixent le paysage forestier sur le long terme peut arrêter ces massacres avec l'interdiction des coupes rases, la validation des PSG par les élus communaux, ingénieurs forestiers de l'ONF, écologues forestiers, entités environnementales publiques, SDIS....

L'overdose des champs de pins est déjà là !!!

 

N'oublions pas que le Bassin versant du Ciron c'est déjà ça !! 

 

Tout est Pin !!


La sylviculture naturelle à couvert continu

3 sept. 2023

Il s'agit là d'une vidéo tournée le 9 juillet 2022*, lors d'une "conférence" en plein air, en pleine forêt des Landes, conférence diligentée par Éric Castex, gestionnaire forestier.

*4 jours avant le début des grands incendies des forêts de monoculture de pins.

 

 

https://www.youtube.com/watch?v=t7Q0Y6fkIsU